Victor-Lévy Beaulieu est mon auteur québécois préféré. Je crois que ceci est un de ses meilleurs romans. Mais j'ai eu beaucoup de difficulté à le finir. Je suis resté barré pendant un mois devant le chapitre sur la mort de la mère. Un motton que j'ai fini par passer aujourd'hui. Vraiment bien écrit.
7 commentaires:
Salut Édouard,
Il faudra que je donne une nouvelle chance à Victor. J'ai essayé à plusieurs reprises de lire ses oeuvres, mais je ne me suis jamais rendu à la fin. (En passant, on se connait de longue date, pas Victor et moi : nous deux. Indice : je suis à la retraite aussi.)
Salut Rolljml
Heureux d'avoir de tes nouvelles, même si l'indice que tu as fourni ne m'est pas très utile : si tu savais le nombre de retraités qu'il y a dans mon entourage! J'aime bien Victor, en passant, même si je crois que je ne réussirai jamais à passer à travers toute son oeuvre.
C'est vrai qu'il y a un problème avec lui : il écrit plus vite que je lis. Autre indice : la dernière fois qu'on s'est vus, c'était au Bock en 1972 ou 1973.
Là ça réduit un peu les possibilités. Mais mon Alsymer étant ce qu'il est, je me sens quand même encore un peu dans la brume. Est-ce que les lettres de ton pseudonyme ont un quelconque rapport avec ton identité? Est-ce que tu pratiquais le même métier que le mien? Ça ça m'aiderait.
Tu brûles. Nous avions un ami commun dont le chien, un magnifique Labrador, s'appelait Husdan.
Fin du suspense : eh oui, c'est Jean-Marc. Je tapais le nom de vieilles connaissances sur Google et je suis tombé sur ton blog, qui est fort intéressant. J'ai commandé « Jos Connaissant » à la bibliothèque. Je le lis et je t'en reparle.
Comment vas-tu Jean-Marc? C'est bien agréable d'avoir de tes nouvelles. écris-moi à edouardlavalliere@yahoo.fr
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