SDF

Début d'une période d'itinérance. Pour le moment tout va bien. Demain je sors le kodak.

Rouge

La Brasserie d'Arvida envahit le trottoire

Le Quotidien salue Michel Chartrand

Merci de ne pas avoir dit le "Saint dit Câlisse".

10 000 m poussète

A Arvida, tout est possible!

Les guichets passent à l'attaque

Au moment où on s'y attend le moins, on risque de se faire bouffer par les guichets automatiques comme ce pauvre client à Arvida.

Percé

Même si ça me prenait des gants pour leur tirer le portrait, ces perces-feuilles annoncent le printemps sur la rue Saucier.

Du poulet Yasa à Arvida

Tellement surprenant que ça mérite trois photos

Sur Facebook: http://www.facebook.com/group.php?gid=10150127071750405&ref=mf&v=info#!/group.php?v=wall&ref=mf&gid=10150127071750405

Troisième bedaine

Deuxième bedaine, le 3 avril

J'en ai vu une hier, le 2 avril, mais elle était furtive, deux minutes sur la galerie du voisin. Mais celle d'aujourd'hui était vraiment dans toute sa splendeur et en pleine action. Rien de furtif. J'ai aussi entendu un merle ce matin, mais je ne l'ai pas vu, encore moins photographié. Reste à "spoter" mon premier string et on va pouvoir dire que l'été est vraiment arrivé.

Atelier sur le flash

Richard nous a fait comprendre comment les dessous du flash. Très intéressant. Ne me reste plus qu'à m'en acheter un.

20 000 000 d'acres d'excellente terre à blé

Une belle affiche que la Bibliothèque de l'Uqac a eu la bonne idée de faire laminer. Elle date de l'époque de la colonisation. Pour voir les détails, il va falloir « zoumer ».

Drôle de coïncidence

Je lisais ce livre sur l'histoire de la philosophie pythagoricienne, tout à fait par hasard. Je l'ai commencé hier soir. Je décide de finir la préface ce midi, au soleil. La dernière ligne du texte: « Poitiers, 16 mars 1873 »!



Bang! Je me suis senti personnellement touché par la coïncidence. J'étais irrémédiablement lié à un auteur que je ne connais pas plus que ça à 137 ans de distance. Jean Dion trouverait cela in-croyable. J'imagine que c'est pour ça qu'on veut devenir écrivain.

Deuxième phase

La pancarte est sortie de l'univers virtuel.

Deux extra-terrestres

en mobylette à Jonquière.

Première sortie au soleil

Les bières et les bedaines, c'est pour quand?

Le flo

du voisin s'amuse avec le Tonka de ses rêves. Chanceux! Heureusement que j'ai de bonnes fenêtres parzemp : je n'entends absolument rien du vacarme que ça doit faire. Pis j'peux surveiller le chantier en toute tranquillité.

On dirait

qu'elle a hâte d'aller se faire planter dehors et de rejoindre son ami au soleil.

On dirait

que monsieur chose, dans la rue chez nous, a eu un banc de "neige pourrite" en cadeau.

Tranquille

l'arrêt d'autobus, durant la mi-session. Heureusement qu'il y a de la visite qui arrive.

Deux montgolfières

se cachent derrière les fils électriques, grâce à la complicité du soleil et de la neige. Première fois que je vois de ces joujoux au Saguenay.

"En avril...

ne te découvre pas d'un fil", dit-on. Mais la sagesse populaire ne nous aide pas beaucoup quand le premier mars on se sent comme si c'était le trente avril. Ce trou dans notre culture est sûrement un autre signe du réchauffement de la planète. Une chance que l'heure n'a pas encore pris de l'avance: là on serait vraiment mêlé.

Un vrai Ti-Jos connaissant

Victor-Lévy Beaulieu est mon auteur québécois préféré. Je crois que ceci est un de ses meilleurs romans. Mais j'ai eu beaucoup de difficulté à le finir. Je suis resté barré pendant un mois devant le chapitre sur la mort de la mère. Un motton que j'ai fini par passer aujourd'hui. Vraiment bien écrit.

Une chose et son maître

En sortant d'une conférence d'une jeune anthropotornadologue, au Cégep, j'ai croisé ce jeune artiste et son œuvre. Une sculpture vraiment tripante, au sens français du mot. Pas particulièrement tripative, au sens anglais du mot. J'ai touché aux boudins. Surprenant. Plus rigolo que macabre à bien y penser.

Belles cabanes

J'ai dû passer deux mille fois devant cette maison. Mais je viens tout juste de remarquer les belles petites cabanes.

Coq de garage

Pas du tout impressionné par les F-18 qui volent au-dessus des nuages.

Sainte-Famille à vendre

C'est la première fois que je vois une église en vente avec photo dans une vitrine de Re/max. Pendant que la bulle immobilière gonfle, la religieuse, elle, est bien dégonflée.

Nature morte

Pas vraiment morte.

Rigolade sur Barcelone

La chaleur et le bruit de l'eau qui ruisselle m'ont fait sortir de ma léthargie post-rénovations. Un avant-gout du printemps.

Retour au train-train quotidien

qui se passe exceptionnellement au Canal V par les temps qui courent.

Cap-à-L'Aigle

Au soleil et le fleuve dans le dos, au delà de la forêt.

Relaxation

Fini le capharnaüm

lundi prochain.

En fin de semaine, repos loin de tout cela.

Que c'est agréable

de manger le fruit du travail de ses enfants ;0)

Ça flotte

Tremblez devant Facebook!

Le débat sur l'impact des médias sociaux, comme la Face de livre, tOuiTeur, et les blogues me surprend. Va falloir que j'arrête de trembler et que j'écrive quelque chose là-dessus... Maña.

En attendant, je laisse retomber la poussière des sciures de plancher flottant et je passe à la douche, tout de suite après avoir fini ma Tremblay.

Super bol

de chili.

Les Saguenéens saluent les anciens

L'équipe à trente-quatre ans, d'après le présentateur, même si Wikipédia dit que l'équipe a été fondée en 1973.


Et aujourd'hui, c'était jour de reconnaissance pour ceux qui ont déjà eu "la couronne tatouée sur le coeur": plus particulièrement les joueurs des années 80-90. Ça m'a fait un "p'tit v'lour" de renouer avec le tableau d'affichage sur grand écran, surtout quand cette image est apparue. (La photo n'est pas terrible, mais je n'étais pas assez près pour faire un véritable gros plan sur la vedette.)

Sept heure du mat

"Sur le flye". Quatre-vingt-dix kilomètres-heure. Les bords du Lac Jacques-Cartier, dans le Parc des Laurentides. Je ne conduisais pas. En bus. À travers la fenêtre tachetée de calcium.


Mais je crois que l'effet vieillot (gros grains) est surtout dû à l'ISO 1000 qui génère beaucoup de "bruit". (Si vous regardez attentivement, vous pourrez entendre passer les souffleuses.)

Manque d'inspiration

La beauté de la trappe

La balance des blancs

Un excellent atelier du Club de Photo JAK. Toutes sortes de bons trucs. Je crois que je vais pouvoir améliorer mes photos. Mais ce qui m'a le plus impressionné c'est tout ce qui concerne les fichiers RAW. J'ai bien hâte de voir comment on peut jouer avec cela.

Toujour les rénos

Mais je suis fatigué de les photographier. Alors, voici la violette africaine qui regarde chuter la température : -30c de prévu pour cette nuit. Elle doit s'ennuyer de son pays d'origine.

Église Saint-Jacques

Vue de la patinoire; à l'abandon; le presbytère est recyclé en centre d'accueil et la cour en parc: patinoire l'hiver, piste de roller blade et terrain de pétanque durant l'été.

Souper thai-CSI

C'est là

que le vrai plaisir de l'amateur de flottaison commence.

D'où viennent les plancher flottants

De la pratique sociale, comme le pensait Mao? Pas du tout. Ils tombent du ciel, comme on peut le voir. (En passant, il faut aussi dire adieu au beau tapis de la chambre du sous-sol.)

Tout cela va se mettre à

flotter. Si Canac-Marquis peut "s'grouiller l'cul", comme disait Charlebois.